Le site de Alain Creton, Ethnobotaniste et producteur de chataîgnes

Alain Creton

Totalement autodidacte dans le domaine de l’ethnobotanique, mon activité n’est pas celle d’un chercheur, mais plutôt d’un passeur de savoir.

C’est par curiosité qu’il y a plus de trente ans, j’ai commencé à apprendre le nom des fleurs, des arbres et des plantes que je côtoyais en tant qu’accompagnateur en montagne.

À l’époque, je vivais sur la côte d’azur et allais très souvent dans le désert ainsi qu’en altitude, en montagne. J’ai voulu comprendre comment faisaient les végétaux pour survivre dans des milieux aussi exigeants. La biologie et la physiologie végétale sont devenues des passions.

En 2005, j’ai publié mon premier livre « Fleurs de nos montagnes » aux éditions Séquoia.

Gourmand et cuisinier par passion, je me suis ensuite tout naturellement plongé dans l’étude et la cuisine des plantes sauvages comestibles.

J’ai ainsi publié en 2010, mon second livre : « Plantes sauvages comestibles », toujours chez Sequoïa.

L’étape suivante est venue tout naturellement, de l’alicament au médicament, mes pas m’ont mené à l’étude des plantes médicinales que je préfère nommer « plantes de santé. »

Ce travail m’a conduit en 2013, à co-écrire avec Laurence CHABER mon troisième livre : Plantes de santé, baumes et tisanes », toujours chez Sequoia.

Ces dernières années, grâce aux merveilleux ouvrages de Marc-André Sélosse et aussi de Stefano Mancuso notamment, j’ai approfondi l’étude de la sensibilité et de la communication végétale ainsi que la pédogenèse, la vie des sols.

La Vannerie

J’ai découvert la vannerie il y a 5 ans. Initié lors d’un petit stage au tressage de l’osier, j’ai très vite éprouvé l’envie d’explorer la vannerie sauvage. La forêt où je vis regorge de ressources naturelles telles que le noisetier, le châtaignier, la clématite, la ronce ou le cornouiller. C’est devenu aujourd’hui une autre de mes passions que je tâche de partager au travers de mes stages.

Les châtaignes

Je vis depuis 13 ans au sein d’une ancienne châtaigneraie que j’ai en partie restaurée.Je suis ainsi devenu agriculteur exploitant et producteur de châtaignes.